O.W Nemesis

Project Info

Client 2016
Skills Projet Ludovico

Project Description

Droogz Brigade – O.W Nemesis

Extrait de l’album « Projet Ludovico » sorti chez CMF Records

Réalisation du clip : Maika Mov

Beat & mixage : Al’Tarba
Cuts by Dj Nix’on
Texte : Sad Vicious

Infographie : Matthieu Haure
Image : Ingrid Labbebda, Malcolm Petit, Guillaume Tanis

Paroles Sad Vicious:

13 mars 2022 l’I.S.S constate des déplacements suspects dans l’espace puis perte de contact;
Tout le système satellitaire hs, ça dévie vers la terre, les scientifiques et l’armée craignent une stratégie de guerre alien;
Aux quatre coins du globe les écrans radar s’affolèrent
Enregistrant l’entrée d’astronefs énormes dans l’atmosphère
Dès lors, bugs informatiques, ondes hertziennes parasitées
Toutes les télécommunications terriennes paralysées;
De vastes engins d’un métal sombre en lévitation
Éclipsant le ciel a des dizaines de kilomètres à la ronde
Stationnaire au-dessus des grandes villes des bases militaires
Tout ça nous annonce plus une sinistre invasion qu’une visite saine

Depuis la Seconde Guerre mondiale, les premiers essais atomiques
Pilotes, astronautes ont livré des tas de témoignages d’ovnis
La nasa savait qu’ils envoyaient des drones;
Sous cette base à Groom Lake l’US air force cachait une épave et des corps
Comme des sortes d’humanoïdes difformes
Doté d’un génome proche du nôtre, explorant le cosmos alors que l’homme n’était qu’un microbe;
Voyageant par distorsion du champ gravitationnel
À des vitesses telles que le temps devient obsolète
Offrandes, sacrifices, édifices, les civilisations antiques terrifiées les prenaient pour des divinités;
Des écrits religieux aux productions hollywoodiennes
La fin des temps était prédite, du moins la fin de l’espèce humaine
Némésis

Mouvements de foule anarchiques, trafic bloqué, panique générale
La terre prise à la gorge en état d’alerte maximal
Simultanément leurs vaisseaux géants passèrent à l’attaque
Les gens tétanisés voyaient la masse noire au-dessus d’eux s’animer,
Soudain du coeur des engins jaillit une lumière verte intense
Suivie d’un rayon désintégrant tout bipèdes dans le périmètre en un instant
Sept milliards d’humains périrent net pris de vitesse
Et le reste de l’espèce supplie le ciel pour survivre
Pris par surprise, lancer dans cette ultime guerre
Pour eux nous sommes futiles, juste un nouveau chantier dans cet univers
Sur les quelques porte-avions qui restent, les pilotes blafards décollent du tarmac
Et tous tombent comme des foutus moucherons, notre fatal destin se trace
Face aux échecs des frappes nucléaires laissant leurs satanés appareils intacts
Les vingt pourcents de l’humanité voués à s’éteindre
Etait caché dans les sommets, les grandes forêts, les souterrains
Ils furent tous dévoré dans une battue propre et rapide
Par des créatures issues de leur technologie biomécanique
Le 23 mars les vaisseaux repartaient vers les étoiles
L’humanité éradiquée la nature reprenait ses droits.